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Rencontres littéraires
Réservoir littéraire
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Le club des enfants perdus
17/11/2024
Dans son livre la romancière nous raconter une histoire à deux voix celle de Miranda, jeune femme de 27 ans aux pouvoirs surnaturels et de son père, comédien de théâtre célèbre au centre d’une famille dysfonctionnelle.
Au delà de la polémique engendrée par des scènes de sexe très « crues » ce livre construit à partir de deux points de vue, parle d’incommunicabilité, de solitude, de la souffrance d’une jeunesse en errance mais aussi du poids des traumatismes d’enfances qui alourdissent les vies d’adultes. Il nous renvoie à nos propres interrogations et nos tourments.
Un soir un auteur : communique de presse
24/10/2024
Communiqué de presse : un soir un auteur :
Les âmes errantes
27/04/2024
Une belle écriture pour raconter le chemin difficile et souvent dramatique des réfugiés.
Un roman qui nous renvoie à la triste réalité de l'exil, que nous découvrons trop souvent par les médias
"Une saga poignante qui annonce l'arrivée d'une nouvelle plume ambitieuse et prometteuse" The Guardian
Les gens de Bilbao naissent où ils veulent
12/03/2024
Un soir un auteur avec Pierre Jouvencel
12/03/2024
Après la pièce, ce sera la partie débat, autour du livre de Pierre Jouvencel et Fabien Dworczak « Le progrès est le propre de l’homme », Le Regard de Victor Hugo.
Dans de nombreux domaines, Victor Hugo fur précurseur : au théâtre, en poésie, en tant que romancier, en s’engageant dès ses premiers romans, dans des œuvres où l’actualité politique et sociale, la misère ouvrière et le petit peuple étaient les héros.
Dans le domaine des idées, il aura embrassé tous les courants, mais servi les mêmes causes : combat pour l’abolition de la peine de mort, pour l’égalité, pour l’abolition de l’esclavage, pour l’instruction gratuite et obligatoire, et contre toutes les formes de répression. Il a également beaucoup réfléchi sur les sciences, les techniques, sur l’art et l’idée de progrès.
« L’opinion d’un homme peut changer honorablement, pourvu que sa conscience ne change pas. Progressif ou rétrograde, le mouvement est essentiellement vital, humain, social. » (Victor Hugo)